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Zaïne Bonneville, au prénom d'origine arabe, née à Sens le 27 Prairial An V (16 juin 1797) en même temps que son éphémère frère Alphonse, procède d'une famille de robe (de magistrats) d'origine bourguignonne iconaise aux idées libérales et éclairées, et c'est à Sens, dans l'Yonne, que les Bonneville donneront naissance à leur quatre premiers enfants. La demeure de Villeneuve-sur-Yonne (Villeneuve-le-Roi avant 1848), où décédera Estelle Armande, la soeur aînée, à 97 ans, sera acquise bien plus tard, en 1868, par un de ses frères, Arnould Bonneville de Marsangy, conseiller général de l'Yonne dès 1853, alors que le domaine et le château de Marsangy, propriétés de la famille, le château ayant été détruit pendant la Révolution sans spoliation du domaine, vient de la famille alliée des Guillaume de Marsangy, vielle famille de noblesse provinciale bourguignonne au service du Roi, laquelle n'émigre cependant pas pendant la période révolutionnaire et n'a pas été poursuivie.

Ses parents, Jean Alphonse Adrien Bonneville (1766 - 1830), magistrat, et Antoinette Louise Guillaume de Marsangy (1772 - 1834), son épouse du 2 brumaire de l'An 3 (18 novembre 1794), s'établissent à Paris dans la deuxième moitié de 1799 avant de gagner Mons en 1801, qui, suite au traité de Lunéville de 1801 incluant les Pays-Bas autrichiens, allait tomber dans le Premier Empire ; puis le couple retourna sur Paris, Napoléon défait à Waterloo en 1815, pour s'y établir définitivement en 1820, ce qui va permettre l'inscription de son frère cadet, Arnould (1802 - 1894), à la faculté de droit de Paris, de 1820 à 1823. Ce dernier, qui, à l'issue de ses études, exercera la fonction de magistrat pénaliste, aura une certaine renommée et peut être considéré actuellement comme l'un des pères fondateurs de la criminologie contemporaine. Il s'appelle officieusement Bonneville de Marsangy dès 1823 mais ce n'est qu'en 1859 qu'il obtient l'autorisation d'ajouter l'extension matronymique "de Marsangy" à son patronyme, d'où l'appellation, désormais officielle, mais pour lui seul et sa descendance, d'Arnould Bonneville de Marsangy.

Jean Alphonse Adrien Bonneville a dans sa nombreuse fratrie un frère, Pierre Frédéric, né à Villeneuve-le-Roi le 5 septembre 1768 de Jean Charles Bonneville (1740 - 1818), marchand et magistrat, et de Marguerite Paqueraut, qui, comme essayeur particulier à la Banque de France, se fait surtout connaître comme numismate, auteur d'un ouvrage publié en 1806 à Paris sous le patronage de Napoléon Ier, un "Traité des monnaies d'or et d'argent qui circulent chez les différents peuples ; examinées sous les rapports du poids, du titre et de la valeur réelle avec leurs divers empreintes". Il se marie deux fois, la première avec Louise Victoire Mahoû, la deuxième, en 1816 à Paris, après le décès de la première épouse en 1813, avec Marie Anne Sophie Bourgeois, et aura notamment, du premier lit, deux enfants, Pierre Adolphe (Paris, 1799 - Paris (6e), 1877) et Charles Frédéric Bonneville (Paris, 1797 - Paris (9e), 1879), ce dernier notaire à Tours (Indre-et-Loire) de 1828 à 1841, période pendant laquelle naquit à Tours, le 27 avril 1831, Arthur Frédéric Bonneville, qui fut capitaine de cavalerie après des études effectuées dès 1851 en l'Ecole Spéciale Militaire de Saint-Cyr. Nommé Chevalier de la Légion d'Honneur en mai 1821, Pierre Frédéric décédera à quatre-vingt-douze (92) ans dans le premier arrondissement de Paris, le 27 avril 1861. Son neuveu Alphonse, frère cadet de Zaïne, reprendra cette tradition, lui-même aussi comme essayeur particulier à la Banque de Fance, après une période passée dans l'Armée.

Zaïne, qui, avec son frère jumeau Alphonse, est la seconde de la fratrie, a six frères et soeurs, dont l'un, son frère jumeau, qui meurt à un an et demi et va être "remplacé" quelques mois plus tard, en 1799, par un autre Alphonse, son frère cadet déjà mentionné dont nous reparlerons, et l'autre, Aurélie, soeur jumelle d'Arnould, née à Mons en 1802 et qui décédera seize ans plus tard. Voici sa fratrie telle que livrée par des informations obtenues directement dans l'Etat Civil, ou indirectement par des cercles ou associations généalogiques.

- Estelle Armande, née à Sens le 2 Vendémiaire An IV ou 22 septembre 1795, se marie le 19 mars 1817 à Paris avec un avocat du roi, Jean Marie Thacussios, n'aura pas d'enfants et mourra fort âgée - 97 ans - à Villeneuve-sur-Yonne, le 11 décembre 1892.
- Alphonse (frère jumeau de Zaïne), né à Sens le 27 Prairial An V (16 juin 1797), décédé à Sens le 1er Frimaire An VII ou le 21 novembre 1798.
- Alphonse, né à Sens le 27 Germinal An VII ou le 16 avril 1799, lieutenant au Premier Bataillon du 54ième Régiment d'Infanterie de Ligne, 6ième Compagnie, puis essayeur particulier à la Banque de France à la suite de son oncle Pierre Frédéric, Chevalier de la Légion d'Honneur, qui sera le tuteur de
Charles Jean-Baptiste Delahaye Le Bouis, né de sa soeur aînée Zaïne et de Jean Baptiste Joseph Delahaye Le Bouis, dit le Jeune, décédé en 1834, ce après le remariage de sa soeur avec Alexandre Jules Charles Venelle (1809 - 1883). Ecrit plusieurs ouvrages, dont une Encyclopédie Monétaire en 1849, et un Memento Monétaire et d'Orfèvrerie en 1852. Marié le 7 août 1832 à Segré, dans le Maine-et-Loire, à Elisabeth Sorat (1816 - 1849), native de Macau, en Gironde, fille d'un militaire, laquelle n'a que seize (16) ans au mariage et décédera également fort jeune à Paris (10e), le 12 mai 1849, à trente-trois (33) ans. A un fils, Paul Armand Joseph, ingénieur, né à Paris (6e) en 1842, décédé dans cette même ville en 1925. S'établit à Paris vers 1840 puis, une fois retraité, à Montmorency (Seine-et-Oise) où il meurt le 12 juin 1877.
- Arnould, né à Mons, Belgique, le 12 Ventôse de l'an X ou 2 mars 1802, magistrat pénaliste et théoricien de la doctrine criminologique moderne, procureur du Roi à Paris, Saint-Amand (Cher), Nogent-le-Rotrou (Eure-et-Loir), Versailles (Seine-et-Oise)..., enfin conseiller à la Cour d'Appel de Paris, Officier de la Légion d'Honneur en 1873 ; marié le 11 juin 1836 à Paris avec Thérèse Laure Martinet, il a notamment deux fils, Louis Arnold, né en 1839 à Nogent-le-Rotrou, décédé à Paris en 1922, qui écrivit sur son père et la Révolution, et Robert Frédéric, né en 1849 à Versailles, tous ayant embrassé, le second en 1874 après une carrière dans l'armée, des professions dans la magistrature et, le premier marié à Paris (8e) en 1892 à Marie Delphine Louise Girard de Cailleux (Auxerre, 1852 - Villeneuve-sur-Yonne, 1936), le second marié à Paris (9e) en 1881 avec Marie Isabelle Cathrein d'Aldringen (Paris, 1856 - Fontainebleau, 1940), auront une descendance - Henri (1895 - 1937), fils de Louis Arnold, et son fils Roland (1929 - 1954), aux idéaux nationalistes et anticommunistes, furent respectivement tués en Espagne en 1937 et au Viêt-Nam en 1954, leur corps reposant actuellement en la chapelle de Marsangy (Yonne) ; Arnould décède dans le 8ième arrt de Paris le 8 décembre 1894 à l'âge de quatre-vingt-douze (92) ans.
- Aurélie (soeur jumelle d'Arnould), née le 12 Ventôse de l'an X ou 2 mars 1802 à Mons (Belgique) - meurt en 1818 à l'âge de seize (16) ans (sans autres précisions).
- Ernest Adrien Augustin, né à Mons en 1805 (Belgique), meurt célibataire à l'hospice de Villeneuve-sur-Yonne le 17 novembre 1875, sans postérité, sa dépouille ayant été rapatriée à l'hôtel Marsangy de Sens, son domicile (transcription du 26 novembre 1875).

Son père, Jean Alphonse Adrien, vérificateur de l'enregistrement et des domaines, meurt à Paris le 9 mars 1830 à soixante-quatre (64) ans et est inhumé au cimetière de Montmartre à Paris ; il y sera rejoint de son épouse Antoinette Louise quatre (4) ans plus tard, laquelle meurt à Paris le 29 juillet 1834 à soixante-deux (62) ans.

Zaïne subira une vie sentimentale agitée et destructurée contrevenant avec les pratiques et les principes familiaux de la bourgeoisie impériale du dix-neuvième siècle. D'où une certaine discrétion de sa famille à son sujet, et beaucoup de lacunes, de cupidité, de maquillage ou de choses tues ont suivi dans une atmosphère délétère et conflictuelle.

Zaïne Bonneville se marie à Paris le 16 juin 1828 avec Jean Baptiste Joseph Delahaye Le Bouis dit le Jeune (1774 - 1834), un homme de vingt-trois (23) ans plus âgé qu'elle. Avec lui, elle a un fils, né en 1832 à Nogent-sur-Marne (Seine), Charles Jean Baptiste Delahaye Le Bouis (1832 - 1913). Son père meurt prématurément à Paris le 13 mars 1834 et Zaïne se retrouve veuve trop tôt avec un enfant de deux (2) ans, héritier de la fortune conséquente de son père liée aux activités commerciales de sa famille havraise avec les Antilles. Son premier mari décédé, elle se remarie le 14 décembre 1837 avec Alexandre Jules Charles Venelle (1809 - 1883), avoué puis avocat à la Cour de Paris, natif de Paris d'une famille de souche lorraine, cette fois-ci de douze ans plus jeune qu'elle, et confie définitivement son fils, alors âgé de cinq ans, sous la tutelle de son frère cadet Alphonse en remplacement de l'autorité du père défunt, Jules Venelle, trop jeune, n'ayant pas voulu ou pu reprendre officiellement cette autorité, et Alphonse Bonneville, touchant de près, de par sa fonction à la Banque de France, aux finances, ayant été sans doute jugé plus apte que Jules Venelle à gérer le patrimoine conséquent du jeune héritier. En effet, ce mariage, sans doute arrangé et plus de raison que de sentiments, ne tiendra, concrètement, pas plus d'un an, Jules Venelle ayant trouvé rapidement, parallèlement à cette union, une femme de neuf (9) an plus jeune que lui, donc plus en rapport avec son âge, Pauline Louise Héomet, d'où, le divorce étant par ailleurs interdit, adultère. Zaïne aura cependant, avec son second mari, comme s'il s'agissait de la réparation d'une faute, une fille, Louise Joséphine Venelle, née à Paris le 27 décembre 1847, et un garçon, Gaston Venelle, né à Paris en 1851, les demi-soeur et demi-frère de Charles. Vers 1853, elle quitte définitivement cet homme trop jeune et compliqué pour elle, qui, malgré l'adultère, la soutiendra dans l'éloignement jusqu'à sa mort, pour aller s'établir avec sa fille et son fils à Arras (Pas-de-Calais) puis à Lille (Nord), se rapprochant ainsi de son pays d'enfance, la Belgique.

De son côté, Jules Venelle, qui voulait se réaliser sentimentalement, développera à Paris dès 1839, à défaut de pouvoir divorcer - le divorce ayant été supprimé par la loi Bonald de 1816 -, et sans doute avec la complicité de Zaïne, cette liaison adultérine avec Pauline Louise Héomet (1818 - 1890) avec laquelle il aura à Paris plusieurs enfants adultérins qu'il adoptera, entre autres connus, Emilie Heomet, née en 1840, appelée par adoption Heomet-Venelle en 1858, Georges Héomet, né en 1847, le matronyme étant maintenu en 1857, et enfin Frédéric Héomet, né en 1856, appelé bien plus tard Héomet-Venelle par un arrêt d'adoption de la Cour d'Appel d'Alger de 1880 - Jules Venelle n'ayant pu reconnaître sa lignée adultérine du fait de son mariage avec Zaïne Bonneville. Il en sera ainsi jusqu'au décès de Zaïne, la première épouse, survenu le 31 janvier 1869 à Paris (9e) et enterrée au caveau de ses parents au cimetière Montmartre à Paris, donc bien avant le décès de son second mari - le 28 octobre 1883 à Paris (9e) -, qui permettra ainsi le remariage à Paris, le 5 mai 1869, légalisant ainsi l'union, déjà ancienne, de Jules Venelle avec Louise Pauline Héomet, pour elle son premier mariage ; le couple, lui retraité, s'installe alors à Alger (Algérie) pour y gérer une papeterie au 16 de la rue Bab-Azoun, leur fils Frédéric ayant pris la relève de 1877 à 1882, année où, sentant son père mourir, il vend la papéterie. Jules Charles Venelle et Louise Pauline Héomet étaient décédés à Paris, lui dans le 9ieme en 1883 et elle dans le 17ieme en 1890, lorsque Frédéric Héomet-Venelle, leur derniers fils alors devenu sous-chef de gare à Paris-Saint-Lazare, se marie à Paris (4ieme) en 1890 avec Amélie Claire Patenotte. Il sera nommé cinq ans plus tard aux Andelys, dans l'Eure et décédera prématurément à Saint Germain-en-Laye, actuellement dans les Yvelines, le 8 Août 1909. Quant à Georges Héomet, il développera sur Paris, au 78 de la rue de l'Hôtel-de-Ville, une affaire du nom de "Georges Héomet et Cie" spécialisée dans la fabrication d'encres, laquelle fera malheureusement faillite en juillet 1910.

On comprend pourquoi Alphonse Bonneville fera tout pour "éloigner" son neveu Charles Jean Baptiste Delahaye Le Bouis de ce contexte familial destructuré et délétère en l'envoyant se former comme agriculteur à la Ferme-Ecole de la Nièvre à Montaron (Nièvre) avant d'acheter en 1854, moyennant la fortune héritée de son défunt père, les terres de Germigny, près de Bourges (Cher), terres qu'il exploitera dès 1855 avec son ami Louis Berthault, son régisseur, lequel, par son mariage en 1856 à Montaron avec Césarine Euphrosine Salomon-Cohen, fille aînée du directeur de cette école, Louis Rousseau Salomon-Cohen, également maire de Montaron, lui donnera l'occasion, en assistant comme témoin à ce mariage, de couper définitivement avec sa famille biologique au profit de la famille Berthault.

Discussion
Suivant Sylvaine Ruopoli-Cayet, auteur d'un ouvrage sur son frère Arnould, Zaïne Bonneville se serait mariée en secondes noces avec un avoué à la Cour de Paris, Jules Lenoble. Nous n'avons jamais pu vérifier ce mariage sur Paris, sur Villeneuve ou sur Sens, ni même l'existence de cette personne, et nous pensons qu'il y a eu une erreur de compréhension caligraphique entre Venelle et Lenoble, de même que l'écriture du nom de son premier mari a été erronée, Delahaye de Bonis au lieu de Delahaye Le Bouis (ou Lebouis). Suivant le même auteur, Zaïne serait décédée fort âgée à Villeneuve-sur-Yonne, en 1892, à l'âge de quatre-vingt-dix-sept (97) ans. Mise à part l'incohérence de l'âge par rapport à la date de naissance, et une confusion possible avec le décès de sa soeur aînée cette année-là, le lieu et la date du décès ne sont pas confirmés par l'Etat-Civil de cette commune, ni avant, ni après. Nous savons cependant qu'
Alexandre Jules Charles Venelle, son second mari, s'est remarié à Paris (4e) en 1869 suite à la perte de son épouse, donc avant cette date, légalisant ainsi une union de fait qui perdurait depuis 1839. Le lieu de son décès reste inconnu aux Etats Civils de Villeneuve et de Sens, normal puisque nous avons découvert qu'elle était décédée au 31 janvier 1869 dans le 9ième arrondissement de Paris. Quant à son frère jumeau Alphonse, si l'auteur affirme à juste titre qu'il serait mort peu après sa naissance, l'auteur oublie de mentionner la naissance à Sens, deux années plus tard, d'un autre Alphonse dont la réponse est donnée dans cette notice et dont nous savons qu'il vivait encore en 1854 puisqu'il avait assisté cette année-là son neveu Charles Delahaye Le Bouis à l'achat du domaine de Germigny, près de Bourges (Cher), et en 1874 lors du mariage à Paris (2e) de son fils Paul Armand Joseph avec Emilie Jenny Pettit (1850 - 1910). Il mourra trois ans plus tard à Montmorency (actuellement dans le Val d'Oise). Enfin, la naissance de Jean Joseph Adrien, annoncée par l'auteur en l'an 7 de la République (le 8 juillet 1799) à Paris et que nous n'avons pas retenue, est biologiquement impossible du fait de la naissance, en Germinal de la même année, du deuxième Alphonse à Sens, le dernier né de cette famille dans cette ville. Nos recherches ont été vaines quant à établir avec certitude un lieu et une date de naissance de celui qui, présenté comme seulement militaire, ne serait, suivant la Société Généalogique de l'Yonne, que la reprise des prénoms de la première identité de Jean Alphonse Adrien, l'époux en l'an 3 de la République d'Antoinette Louise Guillaume de Marsangy ; Elisa Surat, l'épouse du-dit Jean Joseph Adrien, semble avoir été, par ailleurs, une mauvaise transcription de l'identité de l'épouse du deuxième Alphonse, Elisabeth Sorat, ce qui nous fait dire que Jean Joseph Adrien ne serait que la substitution du second Alphonse. Bref, dans ce dernier cas de figure, tout se passe comme si la famille Bonneville, en exploitant le fait bien réel du décès fort précoce du frère jumeau de Zaïne, au même prénom, avait voulu, en transmettant à l'auteur certaines données, "gommer" de sa généalogie la présence du second Alphonse qui, comme nous l'avons vu, n'a pas été que militaire puisqu'il a assuré par la suite la fonction d'essayeur particulier à la Banque de France, et a été lié dès 1837 au devenir de Charles Delahaye Le Bouis, le premier fils, orphelin de père, de sa soeur Zaïne. Dans ces conditions, rien ne nous dit, quand bien même les Bonneville se fussent transitoirement établis à Paris en attente d'une nomination à Mons, que ces derniers aient mis au monde ne serait-ce qu'un enfant à Paris.

Sources : Bonneville de Marsangy, 1802 - 1894, de Sylvaine Ruopoli-Cayet, ed. L'Harmattan, 2002 (540 pages). Cet ouvrage, qui est surtout juridique, comporte quelques erreurs patentes ou imprécisions généalogiques. Etats Civils de Paris, de l'Yonne, de l'ancienne Seine-et-Oise (du Val d'Oise, des Yvelines, et du Val-de-Marne) ; Dictionnaire biographique généalogique et historique du département de l'Yonne, Auteur: Paul-Camille Dugenne - Ed. Société généalogique de l'Yonne.